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Parti Marijuana du Canada Thread views: 117 *Threaded Mode

Zappiste
(member)
5/23/03 07:58 AM
142.169.106.229
Médecins contre le cannabis [Post#: 2802 ] Reply to this post

Excès de zèle ou serment d'hypocrite ?

Ils admettent qu'il n'y a
AUCUNE possibilité de surdose
ni AUCUNE dose mortelle concernant le cannabis.

Ce qui les empèchent, disent-ils, de prescrire
du cannabis c'est qu'ils ne connaissent pas
exactement la dose à prescrire à la puff/au cc près.

Pourtant ils n'hésitent pas à prescrire des
produits chimiques testés sur des souris dont
les effets secondaires sont pires que la maladie,
et qui se révèlent parfois dangereux et mortels.

Ce sont leurs dommages collatéraux.

Les erreurs médicales causent plus de décès …
que les accidents de la route, le cancer du sein ou le sida,
révèlent deux études, l'une américaine, l'autre britannique.

http://pages.infinit.net/sylimb/VOIR.html


Au Québec, ce chiffre serait de 2000 et à l'échelle canadienne, d'environ 12 000. Les erreurs de médication et de diagnostic seraient parmi les plus mortelles à l'heure de la médecine ultrarapide et souvent impersonnelle. Les accidents n'entraînant que des séquelles physiques ou psychologiques seraient beaucoup plus élevés.
Volonté de transparence
Ces chiffres ne sont que de grossières estimations parce qu'il n'existe, ni ici ni aux États-Unis, de relevé systématique et rigoureux à ce sujet. C'est dire qu'en matière d'erreurs médicales, opacité et loi du secret règnent depuis de nombreuses années. Les victimes, elles, désemparées et plongées dans l'ignorance, n'entreprennent des démarches judiciaires que dans 5 % des cas au Québec; la grande majorité rongeant leur frein en silence. Mais les choses vont changer, jure le Collège des médecins. "L'article 56 du nouveau code de déontologie obligera le médecin à communiquer à l'individu concerné tout incident, accident ou complication pouvant mettre sa santé en danger. Cette règle était déjà implicite, mais dans les faits, il est possible que certains médecins n'aient pas informé", admet François Gauthier, directeur des enquêtes au Collège des médecins, qui précise qu'on ne parle ni de faute ni d'erreur, mais d'événement inattendu. "La grande force de ce texte sera de créer une habitude d'ouverture et de transparence. Le but premier n'est pas de pointer un responsable mais que le patient sache ce qui est arrivé. S'il y a manquement à l'article 56, on interviendra auprès d'un médecin et il pourra y avoir des sanctions."
Le code de déontologie en est à sa première refonte depuis 1970. Pourquoi avoir mis tant de temps à agir? Voulait-on protéger les médecins au détriment du public? "Je ne dirais pas ça. Probablement que ce n'était pas une priorité afin d'améliorer la qualité des soins", croit M. Gauthier.

Régis Blais, professeur au département d'administration de la santé de l'Université de Montréal, voit les choses autrement. "Le risque de poursuites judiciaires y fut sûrement pour quelque chose, mais il y a aussi le pouvoir historique des médecins. Aujourd'hui, les gens sont plus éduqués et veulent savoir."





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