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Poster: Zappiste
Subject: Re: la DIRECTION de la SQ a menti...

Un policier de la SQ destitué

Zappiste:
Ets-ce que c'est encore un spouf ?
Comme l'autre policier condamné à la prison pour
brutalité policière sur une jeune femme menottée
à qui il a frappé la tête sur la voiture...
Il a même été filmé ce con-instable.
La sentance a été changé en 100 heures de
travaux communautaires.
Combien d'autres fois la "punition" de policiers
a été un congé avec solde. Et sans solde pour
les cas graves ?

Comment ces personnes de l'Association des policiers et policières
peuvent avoir le culot de demander dans une lettre(1):

6. Les policiers et les responsables de l'appareil judiciaire ont besoin
des pouvoirs discrétionnaires voulus pour appliquer la loi selon les
circonstances particulières d'une infraction.

Si ils mettaient autant d'efforts pour se débarrasser
et protéger leurs rispou(pouris)
qu'ils en mettent pour arrêter des consommateurs de cannabis
pour possession simple, 32,000 canadiens par année,
ils seraient plus crédibles.
A moins que la consommation et la possession de cannabis
soit plus dommageable, dangereuse, qu'un policier criminel ?


Le mercredi 14 mai 2003
Un policier de la SQ destitué

Rollande Parent. Presse Canadienne

Montréal

Un comité de déontologie policière du Québec ordonne la destitution d'un policier d'une escouade d'élite de la Sûreté du Québec, compte tenu de son comportement «grave, inquiétant, vicieux et criminel».

Après avoir ainsi sanctionné le sergent Bernard Bourgouin du Groupe d'Intervention (GI), de Montréal, le président du comité de déontologie policière, Me Jacques Monette, prend le soin de signaler que des policiers de la direction de la SQ ont, dans cette affaire, fait de l'obstruction à l'enquête et menti au moment de leurs témoignages pour mieux protéger le policier Bourgouin. «De tels témoignages démontrent l'incapacité de certains officiers de la haute direction de la SQ à évaluer le comportement déviant de leurs subalternes», écrit Me Monette dans sa décision rendue publique mercredi.

En raison de l'utilisation que le sergent Bourgouin a fait de son arme de service, au moment des événements, il a traumatisé un citoyen qui le demeurera «jusqu'à la fin de ses jours», poursuit Me Monette. Les faits peuvent se résumer ainsi: un camion semi-remorque rempli de boîtes de crabe est volé. Les policiers du GI de Montréal de la SQ sont mandés à la rescousse pour retrouver l'auteur du vol. Ils pénètrent dans la résidence d'un agent manufacturier, sans antécédent judiciaire, mais ne trouvent rien pouvant le relier au vol.

Le citoyen est arrêté et menotté au dos. Le sergent Bernard Bourgouin le frappe à la figure au point de lui briser l'os de la joue droite. Il le prend ensuite par le cou et lui introduit dans la bouche le canon de son arme chargée. Puis il lui dit : «Ferme ta gueule». Le citoyen a dit avoir conservé des séquelles psychologiques de cet événement au cours duquel il a eu la peur de sa vie et qu'il vit dans l'angoisse depuis ce moment. Les membres du GI ne portaient aucune plaque d'identification et étaient vêtus de vêtements d'allure militaire.



(1) Source: Canada news wire services

CNW
Nouvelles générales, mercredi 7 mai 2003

Lettre ouverte au Premier ministre du Canada concernant la consommation de drogues au Canada

CNW

OTTAWA, ON - L'Association canadienne des policiers et policières (ACP) a écrit aujourd'hui au Premier ministre du Canada, l'honorable Jean Chrétien, pour lui faire part de ses vives préoccupations concernant l'intention du gouvernement à décriminaliser la possession de petites quantités de marijuana. "Il est surprenant d'apprendre que de telles annonces seront faites publiquement sous peu alors que les outils ne sont pas encore en place pour assurer cette transition au niveau communautaire", de dire le président de l'ACP Grant Obst.

Bien que nous soyons heureux que le Premier ministre ait annoncé que le Canada se dotera "d'une stratégie antidrogue pour dissuader les jeunes de consommer des drogues", nous sommes néanmoins déçus de la précipitation avec laquelle le gouvernement fait avancer la décriminalisation sans que cette stratégie antidrogue ne soit opérationnelle et sans avoir muni la police et les professionnels de la santé des outils dont ils ont besoin pour faire leur travail :

1. Des lois et d'outils nous permettant de sévir contre les conducteurs
qui circulent sur nos routes alors que leurs facultés sont affaiblies
par les drogues.

2. Des outils législatifs et d'application des lois plus rigoureux pour
combattre le trafic de drogues illégales par les criminels organisés,
les trafiquants de drogues, les fabriquants et les cultivateurs, entre
autres.

3. Une approche coordonnée et les ressources suffisantes pour assurer la
prévention, l'éducation et la sensibilisation auprès des enfants et
des adolescents fournissant de l'information irréfutable, exacte et
impartiale aux enfants et aux adolescents sur les véritables torts
occasionnés par la consommation de drogues et il nous faut leur offrir
le soutien dont ils ont besoin pour faire les bons choix.

4. Une approche intégrée et durable de la prévention, de l'éducation, de
l'application des lois, de la réadaptation et de la recherche.

5. Des conséquences significatives, appropriées et graduées, axées sur la
prévention et la dissuasion de la consommation de drogues.

6. Les policiers et les responsables de l'appareil judiciaire ont besoin
des pouvoirs discrétionnaires voulus pour appliquer la loi selon les
circonstances particulières d'une infraction.

7. Le Canada doit se pencher sur les ramifications des décisions prises
au Canada en matière de politiques sur les drogues, relativement à la
circulation de personnes et de produits à la frontière que nous
partageons avec les Etats-Unis.



marijuanaparty.ca